30 research outputs found

    Which instruments to preserve forest biodiversity?

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    In general, neither the social norms nor market dynamics stimulate spontaneously activities and practices conducive to biodiversity. The nature of public good of biodiversity leads to its rapid erosion. Even if it can respond positively to social expectations and improve welfare in the long term2, taking into account biodiversity often leads to changes in the way we produce or how to exercise its property right. The consideration of biodiversity may determine production losses and income decreases.[...]

    Aubertin Catherine, Pinton Florence, Boisvert Valérie, Les marchés de la biodiversité, IRD Editions, Paris, 2007, 269 p.

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    L’article 2 de la Convention sur la DiversitĂ© Biologique (CDB) dĂ©finit la biodiversitĂ© comme Ă©tant « la variabilitĂ© des organismes vivants de toute origine y compris, entre autres, les Ă©cosystĂšmes terrestres, marins et autres Ă©cosystĂšmes aquatiques et les complexes Ă©cologiques dont ils font partie ; cela comprend la diversitĂ© au sein des espĂšces et entre espĂšces ainsi que celles des Ă©cosystĂšmes ». Or, dans l’ouvrage « Les marchĂ©s de la biodiversité », les auteurs centrent leur recherche sur l..

    A la recherche des Merit Goods

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    Musgrave’s so-called merit goods, introduced in 1957, intend to deal with the situations where the social weight or concern of a good differs from the information given by individual preferences. Merit goods are often referred to as a case for government intervention in education, health care or biodiversity protection policies
. But the theoretical roots of this concept seem a bit fuzzy and are, at best, very controversial. To put it crudely, what –if anything- can justify that government choices rule out individual choices? The paper tries to answer this question. What role do merit goods play in economic theory? The first part of the paper defines the concept of merit good and emphasizes the theoretical issues at stake. The second part studies in what way the concept of merit good can be compatible with economic theory. We show, in particular, how this concept fits well with the development related to individual decision making theory, known as behavioural economics.

    Understanding private forest owners’ conceptualisation of forest management : Evidence from a survey in seven European countries

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    Acknowledgements This paper is written as a part of Cost Action FP1201, Forest Land Ownership Changes in Europe: Significance for Management and Policy (FACESMAP). Laura Bouriaud thanks the Romanian Agency UEFISCDI for helping finance this research through the project PN-II-RU-TE-2014-4-0017. Philippe Deuffic and Elodie Brahic thank Centre National de la Propriete Forestiere (CNPF). The authors are also grateful to the people involved in data collection in the seven European countries. The authors thank the three anonymous reviewers for their useful comments that helped to improve the article.Peer reviewedPostprin

    What influences European private forest owners’ affinity for subsidies?

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    We acknowledge the funding from the whole team from FACESMAP FPS COST Action FP1201. Also VJ was supported by the Czech National Agency for Agricultural Research (NAZV) under the contract QJ1530032.Peer reviewedPostprin

    Les outils Ă©conomiques de prĂ©servation de la biodiversitĂ© en forĂȘt : Rapport bibliographique

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    [Departement_IRSTEA]Territoires [TR1_IRSTEA]DTAMCertaines mesures en faveur de la biodiversitĂ© sont coĂ»teuses pour le sylviculteur. Le coĂ»t de ces mesures est supportĂ© par des agents individuels (les propriĂ©taires), tandis que leurs bĂ©nĂ©fices profitent non seulement au propriĂ©taire forestier mais aussi Ă  la collectivitĂ© (bien au delĂ  des usagers de la forĂȘt). L'objectif de ce rapport est de faire le point sur les outils Ă©conomiques de prĂ©servation de la biodiversitĂ© en forĂȘt. Il s'agit d'analyser dans la littĂ©rature internationale diffĂ©rentes expĂ©riences d'incitation des agents Ă©conomiques (dans la bibliographie, essentiellement des propriĂ©taires privĂ©s) d'une part Ă  prĂ©server la biodiversitĂ© en forĂȘt, et d'autre part Ă  prĂ©server voire Ă  augmenter les services Ă©cologiques ou assimilĂ©s (eau potable) procurĂ©s par les forĂȘts, les amĂ©nitĂ©s forestiĂšres

    Mécanismes incitatifs à la préservation des services écologiques

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    [Notes_IRSTEA]Convention DEB-Cemagref 2009-2011 [Departement_IRSTEA]Territoires [TR1_IRSTEA]DTAMCertaines mesures en faveur de la biodiversitĂ© sont coĂ»teuses pour le sylviculteur. Le coĂ»t de ces mesures est supportĂ© par des agents individuels (les propriĂ©taires), tandis que leurs bĂ©nĂ©fices profitent non seulement au propriĂ©taire forestier mais aussi Ă  la collectivitĂ© (bien au delĂ  des usagers de la forĂȘt). Sur le plan thĂ©orique, l'une des raisons de l'utilisation non-soutenable des biens et services issus de la biodiversitĂ© est l'inefficacitĂ© des marchĂ©s pour les biens publics. Depuis les derniĂšres dĂ©cennies, l'instrument prĂ©dominant au sein de la communautĂ© europĂ©enne pour atteindre les objectifs d'utilisation durable des ressources naturelles a Ă©tĂ© l'usage de rĂ©glementations issues de lois environnementales. Or, en raison de restrictions budgĂ©taires et du fait que la plupart des mĂ©canismes rĂ©glementaires sont coĂ»teux pour les secteurs public et privĂ©, les approches fondĂ©es sur le marchĂ©, plus efficientes, prennent une place croissante dans les dĂ©bats pour les stratĂ©gies de conservation de la biodiversitĂ© et particuliĂšrement les paiements pour services environnementaux. A partir d'une analyse de la littĂ©rature internationale sur les diffĂ©rentes expĂ©riences d'incitation des agents Ă©conomiques (essentiellement des propriĂ©taires privĂ©s) d'une part Ă  prĂ©server la biodiversitĂ© en forĂȘt, et d'autre part Ă  prĂ©server voire Ă  augmenter les services Ă©cologiques procurĂ©s par les forĂȘts, cette Ă©tude fait le point sur les outils Ă©conomiques de prĂ©servation de la biodiversitĂ© en forĂȘt et identifie deux mĂ©canismes particuliĂšrement intĂ©ressants dont les perspectives d'utilisation dans le secteur forestier privĂ© français sont analysĂ©es plus en dĂ©tail : la protection volontaire et l'allocation des contrats de conservation par systĂšmes d'enchĂšre

    Des forĂȘts publiques aux territoires de la biodiversitĂ© : un Ă©clairage Ă  partir de l’évaluation Ă©conomique non marchande

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    National audienceL’objectif de ce papier est d’évaluer, avec la mĂ©thode des choix multi-attributs, les valeurs non marchandes des forĂȘts publiques, pour la France mĂ©tropolitaine. Nous nous intĂ©ressons Ă  diffĂ©rentes options de gestion sylvicole qui peuvent avoir des impacts diffĂ©renciĂ©s pour certains paramĂštres de la biodiversitĂ© : la structure et les essences forestiĂšres, la densitĂ© des rĂ©manents et des arbres Ă  haute valeur Ă©cologique. Plusieurs rĂ©sultats ressortent de cette Ă©tude : 1/ D’une maniĂšre gĂ©nĂ©rale, les Français ont tendance Ă  valoriser les aspects visibles et familiers de la biodiversitĂ© forestiĂšre (essences plutĂŽt que rĂ©manents) ; 2/ La connaissance, la sensibilitĂ© Ă©cologique, et l’expĂ©rience participent Ă  la formation des prĂ©fĂ©rences en matiĂšre de biodiversitĂ© ; 3/ Les individus qui vivent dans des communes peu boisĂ©es rĂ©vĂšlent une sensibilitĂ© aux enjeux de conservation plus forte que les individus qui vivent dans des communes plus boisĂ©es. Ce dernier rĂ©sultat conforte la nĂ©cessitĂ© de spatialiser les valeurs ; l’intĂ©rĂȘt de cette spatialisation Ă©tant de donner une indication sur les lieux prioritaires de conservation, et plus particuliĂšrement ici du point de vue de la demande

    Des forĂȘts publiques aux territoires de la biodiversitĂ© : un Ă©clairage Ă  partir de l’évaluation Ă©conomique non marchande

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    National audienceCet article s’intĂ©resse aux prĂ©fĂ©rences des individus en matiĂšre de prĂ©servation de la biodiversitĂ© forestiĂšre et Ă  l’influence que peuvent avoir les caractĂ©ristiques de leur lieu de vie sur la formation de ces prĂ©fĂ©rences. L’analyse est menĂ©e Ă  partir d’une Ă©tude dont l’objectif Ă©tait d’évaluer, avec la mĂ©thode des choix multi-attributs, les valeurs non marchandes des forĂȘts publiques, pour la France mĂ©tropolitaine. Cette Ă©tude s’intĂ©ressait Ă  diffĂ©rentes options de gestion sylvicole qui peuvent avoir des impacts diffĂ©renciĂ©s pour certains paramĂštres de la biodiversitĂ© : la structure et les essences forestiĂšres, la densitĂ© des rĂ©manents et des arbres Ă  haute valeur Ă©cologique. Plusieurs rĂ©sultats ressortent de nos analyses : 1/ D’une maniĂšre gĂ©nĂ©rale, les Français ont tendance Ă  valoriser les aspects visibles et familiers de la biodiversitĂ© forestiĂšre (essences plutĂŽt que rĂ©manents) ; 2/ La connaissance, la sensibilitĂ© Ă©cologique, et l’expĂ©rience participent Ă  la formation des prĂ©fĂ©rences en matiĂšre de biodiversitĂ© ; de mĂȘme que le lieu de vie des individus, les rĂ©sidents de communes plutĂŽt forestiĂšres ou urbaines rĂ©vĂ©lant une sensibilitĂ© plus forte aux enjeux de conservation de la biodiversitĂ©. Dans le contexte actuel oĂč le recours aux Ă©valuations Ă©conomiques de la biodiversitĂ© et des services Ă©cosystĂ©miques et l’élaboration de valeurs de rĂ©fĂ©rence sont de plus en plus plĂ©biscitĂ©s comme l’un des moyens permettant d’atteindre les objectifs fixĂ©s par la StratĂ©gie nationale pour la biodiversitĂ© 2011-2020, ce dernier rĂ©sultat conforte la nĂ©cessitĂ© de spatialiser les valeurs ; l’intĂ©rĂȘt de cette spatialisation Ă©tant de donner une indication sur les lieux prioritaires de conservation, du point de vue de la demande
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